LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 39
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Et puis un littéraire de bédouin s’est fait prosterné immédiatement dès qu’il a entendu le verset suivant qu’il était en train de réciter:  
(Hicr, 15/94) فَاصْدَعْ بِمَا تُؤْمَرُ  On lui a dit: ‘’Es-tu devenu musulman?’’. Il a répondu: ‘’Non, je me suis prosterné devant l’éloquence de ce verset’’.
            Et puis des milliers de chefs religieux (Imam) géniaux et de littéraires érudits qui sont des génies de la science rhétorique, comme Abd-al-Quhir Djurdjani, Sakkaki et Zamakhchéri ont décidé avec unanimité et avec alliance que: ‘‘L’éloquence du Coran est au delà de la capacité humaine et est inaccessible’’.
            Et depuis ce temps-là, le Coran invite toujours au champs de combat tous les littéraires et rhétoriciens arrogants et égoïstes et touchant d’une façon leur corde sensible, et brisant leur fierté, dit: ‘‘Soit rapportez le semblant d’une seule sourate… Soit acceptez la perdition et l’humiliation en ce monde et ci-après…’’; en dépit de ce défi, les rhétoriciens obstinés de cet âge, mettant la discussion de côté, la discussion qui était le chemin court au sujet de rapport du semblant d’une seule sourate,  ils ont choisi la bataille qui était un chemin long et qui mettait en même temps leur vie et leur bien en danger: Ceci prouve qu’on ne peut pas cheminer sur ce chemin court.
Depuis, il y a millions de livres en circulation publiés en langue arabe, progressant par des idées qui se suivent et étant encore de nos jours en train d’être rédiger par les amis du Coran avec le désir d’obéir à ses ordres et de l’imiter ; et d’être critiquer et de les confronter  par leurs ennemis; aucun d’entre eux ne peut lui atteindre. Même un homme du commun l’écoutant, dira sûrement: ‘‘Ce Coran ne ressemble pas à ceux-ci et n’est pas dans le même rang qu’eux’’. Il  doit être au-dessus de tous ou il est  au-dessous d’eux; aucune personne dans le monde, aucun mécréant, même aucun imbécile ne peut dire qu’il est au-dessous de tous. Donc, son degré d’éloquence est le dessus de tous. De plus, un homme a lu le verset, (Hadid,57/1) سَبَّحَ لِلّهِ مَا فِى السَّموَاتِ وَاْلاَرْضِ  Il a dit: ‘‘Je ne vois pas l’éloquence miraculeuse conçue de ce verset’’. On lui a dit: ‘‘Toi aussi, comme ce voyageur, atteint cet âge, écoute-le là-bas.’’ S’imaginant se trouver là-bas avant le Coran, il a vu que; les êtres de l’univers dans une situation dispersée, obscure, inanimée, et sans conscience et sans devoir, se trouvaient dans un espace vide, infini, illimité; dans un monde instable, éphémère. Soudainement en entendant ce verset de la langue du Coran, il a vu: Ce verset a enlevé un tel voile sur l’univers, sur le visage du monde et a illuminé d’une telle façon que; ce discours prééternel et ce décret éternel, en enseignant les êtres conscients, se rangeant dans les rangs des siècles, montre que: cet univers, comme une grande mosquée, toutes ses créatures, les cieux et la terre en tête, sont engagés dans une situation agitée, joyeuse et satisfaite, en invocation et en glorification vitales et remplissant leur fonction; ce que cet homme a observé. Et de ce fait goûtant le degré de l’éloquence de ce verset du Coran, comparant les autres versets avec celui-ci, il a compris une des milliers de sagesses du murmure éloquent du Coran envahissant la moitié du globe et d’un cinquième de l’humanité et de la continuation interrompue de la magnificence de sa souveraineté pendant quatorze siècles.
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