LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 82
(1-118)
            Par  le mystère de miracle du Coran Tout Sage, le Risalé-i Nur qui est une vraie exégèse de lui, démontre que dans l’égarement se trouve une sorte d’enfer spirituel en ce monde même  ; et il prouve que dans la foi il se trouve un paradis spirituel en ce monde aussi. Et il fait voir les douleurs pénibles dans des péchés et des maux, dans des plaisirs interdits ;  autrement le Risale-i Nur  prouve qu’il se trouve des plaisirs comme les plaisirs du paradis dans les bonnes œuvres et dans des vertus et dans des pratiques des vérités du chériat. Le Risalé-i Nur sauve les gens du vice et ceux qui sont tombés dans l’égarement qui sont  raisonnables en ce point de vue. Car, à notre époque il y a deux états  impressionnants :
Le Premier : Comme les sentiments de l’homme  prévalent par dessus de la raison et de l’esprit, ne voyant pas la fin des choses et en préférant une once de plaisir actuel à une tonne de plaisirs futurs ; le seul moyen de sauver les gens de malheur  du vice est de défaire leur sentiment en montrant
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* Ancien et Nouveau (Deuxième) Said : Maître Said Nursi raconte comme ci-suite  le Nouveau Said : “ Jusqu’au temps du Nouveau Said (à l’an 1921 où il avait quarante ans), j’ai rempli mon cerveau des sciences philosophiques  ensemble avec des sciences Islamiques, en croyant que les sciences philosophiques sont la source du perfectionnement et le moyen de la lumière de la foi„. (S.Nursî :Lem’alar (Éclats),p.239).“L’ancien Said et un groupe des penseurs acceptent inébranlablement certains principes de la philosophie humaine et de la sagesse européenne, comme sciences positives ; mais de cette façon ils n’arrivaient pas à démontrer la vraie valeur de l’Islam. Apparemment, ils croyaient que les racines de la sagesse étaient très profondes et ils greffaient l’Islam avec les branches de la sagesse ; comme s’ils fortifiaient ainsi  Islam. Puisqu’il ne sera pas possible de gagner une  bataille par cette voie, alors  ce sera diminué, jusqu’à un degré, de la valeur de l’Islam. Pour  cette raison j’ai quitté cette voie. Et aussi j’ai démontré définitivement dans le Risalé-i Nur que : Les principes de l’Islam sont tellement profondes que, les plus profondes principes de la philosophie ne peuvent atteindre aux principes de l’Islam„ (S.Nursî, Lettres (Mektubat), p. 442)
 
 
 
la douleur actuelle dans leur plaisir même. A notre époque, bien qu’on   est conscient des biens et des plaisirs en qualité de diamants de l’au-delà, on préfère quand même les plaisirs de ce monde qui  sont comparables à des morceaux de verre à briser tout de suite. Cela est  confirmé par ce suivant verset du Coran : Coran : (14/3)
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