d'équivalent d'aucune manière ; ceci est une impossibilité.
On ne peut considérer ses fonctions sa¬crées que par allégories et comparaisons. D'ailleurs, toutes les représentations et les comparaisons du Traité de Lumière sont de cet ordre.
Et pourtant, un groupe de gens dans l'égarement attribue les décrets de la Divinité à certaines de ses créatures, imaginant comme le Très Pur en personne telles manifestations qui se reflètent dans les pages de l'univers et dans les catégories d'êtres.
Or, le Très Pur est sans égal, nécessai¬rement existant, isolé de la matière, exempt de l'espace. Aucune possibilité pour Lui de se fragmenter, de se diviser, de se transformer et de s'altérer. Hors du possible également le besoin et l'impuissance, Le concernant. Ces égarés, pourtant, attribuent encore à la nature certaines œuvres du Glorieux !
Et pourtant, la nature est un art divin, et pas l'artiste, un livre du Seigneur et pas le scribe ; une broderie, et pas le brodeur ; un registre, pas le comptable ; une loi, pas le pou¬voir ; une règle et pas celui qui l'institue ; réceptacle, elle est passive et non pas active ; elle est un ordre et pas l'ordonnateur ; une loi naturelle et pas le législateur... C'est démontré avec des preuves irréfutables en divers en¬droits du Traité de Lumière.
Si, par une hypothèse impossible, on at¬tribuait à la nature la moindre créature animée, qu'on lui demandait de la fabriquer, il lui se¬rait nécessaire alors, afin qu'elle puisse réali¬ser cette œuvre, de trouver autant de moules et de machines que ce minuscule être animé a d'organes et d'équipements. Ceci est démontré avec des preuves décisives en maints endroits du Traité de Lumière.
Un groupe de gens de l'égarement dit matérialiste suppose éternelles la matière et la force et se met à attribuer les faits divins aux atomes et à leur mouvements. Mais c'est parce qu'il ne sait pas d'où peut venir cette grande manifestation de la créativité divine et du pouvoir dominical dont il sent la présence dans les transformations régulières des atomes, et parce qu'il ne parvient pas à comprendre d'où est gérée la force universelle, en fait suscitée par la manifestation de ce pouvoir de l'Absolu.