LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 106
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Le Risale-i Nur est extrait : Un de son panneau est ‘’Ya Hâfız’’ (Ô le Conservateur), un de sa page est Machallah (Comme Allah veut), un de son exemplaire est Bârekallah (Que Allah bénisse). Le Risalé-i Nur est une pompe lumineuse contre le feu ; un miroir de leçon pour celui qui le regarde ; un sceau de Muhamméd (ASM) pour les musulmans ; un document de délivrance pour le crimiel ; une bonne direction pour celui dépourvu de direction ; une garantie de la protection pour les seuls ; un trésor d’éternite pour l’antiquaire; un palais éternel pour celui sans foyer ; un coup de repentir pour l’athée, un gibet de justice pour l’incroyant ; une conversation sacrée pour le gnostique, le sage ; un palais de retour pour l’amant…
                                               1946
     Frère HASAN FEYZİ
    (La miséricorde de Allah soit sur lui, toujours et éternellement.)
Au nom de tous le disciples de Nur de Denizli et ses environs
      
  
 
   (La Défense du frère Ceylan)
A LA COUR D’ASSİES D’AFYON,
            En raison de mon service à mon maître et au Risalé-i Nur dont je suis fier de l’accepter, faisant une montage à  partir d’une taupinière, le ministère public me dépeint en tant qu’un diplomate et un homme intrigant; en réponse au délit imaginaire que l’on attribue au Risalé-i Nur et à moi, je dis que: je suis étroitement attaché à mon maître Bedıuzzaman Said Nursî ; en lisant ses oeuvres religieuses et morales sur la foi ; j’en ai profité à tel point que je sacrifierais sans hésiter ma vie pour cela. Cependant cet attachement n’est pas, comme le ministère publique prétend, une incitation de peuple contre l’État qui est nocive pour le pays et pour la nation, mais c’est un attachement sans rupture dans la voie de sauvetage de l’annihilation éternelle de la tombe, le moi-même et mes frères musulmans qui, en ce temps périlleux, ont besoin de sauver leur foi, de corriger leur conduite et de devenir des membres utiles pour le pays et la nation.
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