LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 86
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Puis, le monde du globe terrestre m’est apparu. Pendant mon voyage imaginaire, des lois scientifiques obscures de la philosophie désobéissante à la religion, ont tous dépeint un monde horrible dans mon imagination. La situation du genre humain m’est apparu dans une obscurité dangereuse : Ce genre humain désespéré qui voyage dans l’espace immense de l’univers sur le bateau de globe terrestre qui est terrible, très vieux et très âgé et son intérieur tremblant et convenable à s’effriter et à sa briser à tout moment et qu’il tourne avec une vitesse de soixante-dix fois plus rapide qu’un boulet de canon (c’est-à-dire avec une vitesse de 36 Kms en une seconde), en voyageant dans une année une distance de vingt-cinq mille ans (avec la marche de l’homme : C’est-à-dire une distance de 1 milliard 130 million Kms). La tête m’a tourné, mes yeux se sont obscurcis. J’ai cassé les lunettes de la philosophie en les jetant à la terre. Et soudain, j’ai regardé par un œil illuminé grâce à la Sagesse du Coran. J’ai vu que: Les noms du Créateur des cieux et de la terre, comme : le Tout Puissant (Kadîr), l’Omniscient (Alîm), le Seigneur (Rab), Allah (Dieu), le Seigneur des Cieux et de la Terre (Rabbussemavati ve’l Arz) et le Subjugueur du soleil et de la lune (Musahhır-uch-Chemsi ve’l Kamer) s’étaient levés comme le soleil dans les signes de la Miséricorde (Rahmet) , Grandeur (Azamet) et Seigneurité (Rububiyet). Ils ont illuminé ce monde obscur, déserte, terrifiant, de sorte que le globe terrestre m’apparaisse à l’œil croyant, comme un bateau de voyage régulier, subjugué, parfait, plaisant, sûr, contenant des subsistances de tous les êtres et préparé pour l’excursion, le plaisir et le commerce ;il m’est apparu comme un bateau ou comme en avion ou comme un train de voyage circulant autour du soleil avec les êtres en esprit dans le royaume dominical et comme s’il portait les produits d’été et de printemps et d’automne, aux besoins des êtres. (Ainsi, la manifestation de chaque nom divin illumine, de bout en bout, chaque monde que l’on voit obscur par inadvertance.) J’ai dit: “Elhamdulillah au nombre des atomes du globe terrestre pour le bien de la foi’’.
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