LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 19
(1-118)
Alors que ce voyageur pensif en lisant chaque page de l’univers, sa foi en Allah qui est la clef du bonheur, accroît sa connaissance étant la clef au progrès spirituel; sa croyance en Allah, la source et base de toute la perfection, développe un degré de plus ; sa joie et son plaisir ont augmenté excitant sa curiosité; et tandis qu'écoutant les leçons parfaites et convaincantes données par le ciel, par l'espace et par la terre: en se disant: «Hel min mezîd» (Il n’y a pas plus?), alors il entend les invocations ravies et les sons tristes, des mers et des grands fleuves. Ils disent à lui, par leur langue d’état et leur langue verbale : "Regarde-nous aussi, lis-nous aussi!" Il regarde et voit que: Les mers flottent constamment vitalement, fusionnant et versant en avant avec une inclination à la conquête inhérente en leur nature même, elles ont entouré la terre, et tandis que la terre tourne extrêmement rapide dans un cercle de vingt-cinq mille ans, en une seule année (avec la marche de l’homme qui fait une distance de 1 milliard 130 million Kms); pourtant les mers ne sont pas dispersées, elles n'ont pas débordé et elles n'ont pas entamé sur la terre contiguë à elles. Donc, elles se déplacent toujours et se tiennent, et ont  protégés par l’ordre et le pouvoir d’un Très-Haut, le plus puissant et le plus magnifique.
Puis, regardant à l’intérieur des mers, il voit que: en dehors des bijoux les plus précieux, bien ornés et bien mis en ordre, il y a la soutenance et la commande et la naissance et la mort des milliers de différentes sortes d'animaux qui sont si régulières; leur nourriture et leur disposition venant d’un sable simple et d’une eau amère, est tellement parfaite qu'il prouve irrésistiblement  l’administration et la sustentation d'un Omnipotent possesseur de majesté (Kadir-i Züldjelal), d’un Miséricordieux possesseur de Beauté (Rahîm-i Züldjemâl).

A la suite,  le voyageur regarde les fleuves et voit que: leurs avantages, leurs fonctions et leurs revenus continuels et leurs consommations sont de telle sagesse et miséricorde que ceci prouve d’une manière indiscutable, tous les fleuves, les sources, les ruisseaux et les grandes fleuves surgissent et coulent du trésor de la miséricorde d’un Très Miséricordieux possesseur de majesté (Rahman-ı Züldjelal). Ils sont conservés et sont distribués, en effet, d’une façon  si extraordinaire qu’on dit, "Quatre fleuves reviennent de Paradis." C'est-à-dire, comme ils dépassent de loin des causes apparentes, ils coulent du trésor d'un paradis spirituel et seulement de la surabondance divine d'une source invisible et inépuisable

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