LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 51
(1-118)
DEUXIÈME CHAPITRE  (de la Deuxième Station)
(Pour ce qui concerne des preuves de l’unicité divine)
L’hôte de monde envoyé au monde pour la foi qui a voyagé à travers tout l’univers par son esprit, qui a demandé son Créateur à toutes choses, qui a cherché son Seigneur partout et qui a trouvé son Dieu au point d’existence nécessaire par un degré de la certitude absolue, s’adressant à son intellect a dit : Viens! Nous partirons encore ensemble en voyage afin de voir les preuves de l’unité de notre Créateur Existant Nécessaire.
 
Ils sont partis ensemble… A la première étape, ils ont vu que: les quatre vérités sacrées qui envahissent l’univers rendaient bien évidemment nécessaire l’unité divine.
 
PREMIÈRE ÉTAPE DU DEUXIEME CHAPITRE
 
PREMIÈRE VÉRITÉ: C’est la divinité absolue.
            Oui, l’occupation de chaque troupe d’hommes avec un mode de culte dicté par leurs dispositions innées et les services innés des autres êtres animés, même ceux des êtres inanimés ayant une valeur de mode de culte et  chacun des biens et des grâces dans l’univers devenant des moyens de la gratitude et de l’adoration qui entraîne à faire la louange et le culte faisant faire par un Etre adoré et tous les suintements de l’invisible et les manifestations de l’esprit comme révélation et inspirations proclamant la vérité de divinité d’un seul dieu, (toutes ces choses) prouvent certainement et avec évidence la réalité et le règne d’une divinité absolue. Comme il existe une telle divinité, elle ne peut aucunement accepter l’association. Car, ceux qui répondent à la divinité, c’est-à-dire à la vérité d’être adoré avec des actions de merci et de culte, sont les fruits conscients se trouvant à l’orée de l’arbre de l’univers. Si les autres, en satisfaisant et en obligeant ces êtres conscients, font tourner leurs visages vers eux-mêmes et leur font oublier leur vrai Adoré qui peut être vite oublié en raison de son invisibilité ; cela serait une telle contradiction à l’essence et aux buts sacrés de la divinité qu’elle pourrait nullement être permise. C’est pour cette raison que le Coran refuse l’association (donner d’associé à Allah) et menace le faiseur de dieux (associateurs) avec l’enfer, à maintes reprises et avec une telle véhémence.
Pas d'audio