Tout, comme ces attributs prouvent l’existence de l’Être possesseur de majesté, ils prouvent aussi avec évidence que cet Être suprême a une vie et il est vif. Car, savoir est l’indice de la vie; l’audition est le signe de la vivacité; voir est propre aux vivants; la volonté peut avoir lieu avec la vie; le pouvoir volontaire se trouve seulement chez les êtres vivants; quant à l’action de parler, c’est la tâche des vivants qui savent.
Ainsi, de ces points il se révèle que l’attribut de la vie a des preuves septuple de l’univers et qu’il a les arguments proclamant son existence lui-même et l’existence de Celui qui est le Possesseur d’attribut; c’est ainsi que cet attribut de la vie constitue la base et la source de tous les attributs et qu’il est encore l’origine et la cause du Nom Suprême (Ism-i Azam). Comme le Risalé-i Nur prouve et explique cette première vérité par des preuves vigoureuses, nous nous contentons pour l’instant de cette goutte de cet océon.
Le Deuxième Vérité: C’est le parler divin procédant de l’attribut de la parole. Selon le secret du verset suivant :
(Al-Kahf :
la parole divine est infinie. Le signe le plus clair démontrant l’existence d’un être est son parler. Cette vérité témoigne donc immensément l’existence et l’unité du Haut-parlant Pré-éternel (Interlocuteur Prééternel) (Mutekellim-i Ezeli). Nous laissons l’explication et le témoignage de cette vérité aux degrés suivants de ce traité :
§ Révélations et inspirations qui sont expliquées aux Quatorzièmes et Quinzièmes Degrés,
§ Un autre témoignage large est expliqué par les livres sacrés célestes au Dixième Degré,
§ Un autre témoignage très brillant et assemblant est indiqué par le Coran de l’Exposition Miraculeuse au Dix-septième Degré.
Le verset suivant sublime proclame miraculeusement cette vérité du parler divin et exprime son témoignage avec les témoignages des autres vérités : (Âl-ı Imran:3/18)
شَهِدَ اللّهُ اَنَّهُ لاَ اِلهَ اِلاَّ هُوَ وَاْلمَلَئِكَةُ وَاُولُو الْعِلْمِ قَائِمًا بِالْقِسْطِ لاَ اِلهَ اِلاَّ هُوَ الْعَزِيزُ الْحَكِيمُ
Trouvant suffisamment large les illuminations et les mystères de ce verset sublime, notre voyageur n’a pas pu s’avancer encore plus.
Ainsi, comme allusion à cette station sacrée, au sens bref de la leçon apprise par notre voyageur, on a dit ainsi dans le Dix-neuvième Degré de