LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 9
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La deuxième sorte s'oppose aux vérités de la foi et lutte contre elles. Elle consiste aussi alternativement en deux variétés:
La première est la non-acceptation. Il consiste simplement de ne pas consentir à l'affirmation. C'est une espèce de l'ignorance ; il n'y a aucun jugement impliqué et il se produit facilement. Il est aussi au delà de l’étendue de notre discussion.
La deuxième variété est l’acceptation du néant. Elle doit consentir à son néant cordialement et un jugement est impliqué. C’est une conviction, une croyance, une prise de la partie ou dévenir partisan de quelque chose, c'est à cause de cette partialité qu'elle est obligée d'affirmer sa négation.
La négation, elle aussi est en deux types :
La première type indique que: "Il n'existe pas à un certain endroit ou une direction particulière". Ce genre de négation peut être prouvé, et celle-ci aussi est en dehors de notre sujet.
Le deuxième type de négation consiste à annuler et à nier les questions religieuses sur la croyance sacrés, générals qui entourent et qui concernent le monde et l’univers et le ci-après et les siècles. Ce genre de négation ne peut, de toute façon, être justifié, comme nous avons montré dans la première question. Car,  ce qui est nécessaire pour la justification de telles négations, c’est  qu’il faut avoir une vision qui entourera l'univers entier, verra ci-après, et qui  observera chaque aspect de temps illimité.
Le deuxième abîme et le moyen de s'échapper de lui : Ceci se compose aussi de deux questions:

La Première : Les intelligences qui deviennent rétréciés par absorption dans la négligeance de Allah et dans le péché ou dans le royaume matériel, ne peuvent pas comprendre de vastes questions sublimes et profondes; par conséquent prenant la fierté dans une telle connaissance qu'ils aient, ils accélèrent au démenti et à la négation. Puisqu'ils n’arrivent pas à entourer les questions extrêmement  vastes, profondes et entourants de la foi, dans  leurs intellects gênés et corrompus spirituellement et leurs cœurs moribonds spirituellement, ils se lancent dans la mécréance et l’égarement et ils se noient. S’ils auraient pu regarder avec soin la vraie nature de leur mécréance et de l'essence de leur égarement, ils verraient que: A comparer au sublimité et à la splendeur raisonnable, approprié et nécessaire qui est se trouve dans la foi, leur mécréance dissimule et contient cent degrés d'absurdité et d'impossibilité.

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