LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 8
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La Deuxième Question: En ce qui concerne une question de la discussion en science ou en art, ceux qui restent hors de cette science ou de cet art ne peuvent pas parler avec autorité et leur jugements ne peuvent ni être acceptés comme décisifs, même qu’ils soient grands savants et artistes. Ils ne peuvent pas faire partie des savants de cette science. Par exemple, le jugement d'un grand ingénieur sur le diagnostic et du traitement d'une maladie n'a aucune valeur que celle d’un médecin le plus modeste. En particulier, le mot d'un grand philosophe qui nie la réalité de l’existence de Allah et qui est absorbé dans la sphère matérielle et qui devient continuellement plus éloigné du spirituel et qui est plus brut et plus insensible à la lumière et son intelligence est limité par la vision de son oeil; ses mots du démenti sont indignes de considération et sont sans valeur en ce qui concerne les questions spirituelles.
Sur les questions sacrées et spirituelles à propos de l'unité divine, il y a une entente totale parmi de centaines de milliers de Gens de Vérité, telle que Cheyh Géylani (K. S.)*, qui a contemplé le trône sublime sur la terre, qui a un passé de quatre-vingt-dix ans dans le travaille spirituel et qui a dévoilé les vérités de la foi par la certitude de savoir, la certitude de vision et même par la certitude d’absolue**. Dans ce cas, devant cette verité, pour les questions de l’unité, sacrées, spirituelles, quelle valeur ont les mots des philosophes qui se plongent et se noient dans les détails des choses matérielles le plus éparpillé? Leurs démentis et objections ne sont-ils pas noyés comme le bourdonnement d'un moustique contre le tonnerre ?
L'essence de la mécréance qui s'oppose aux vérités de l'Islam et qui lutte contre ces verités est un démenti, une ignorance, et une négation. Quoi qu'elle puisse sembler en apparence une affirmation et une existence, son sens est en réalité le néant, la négation. Tandis que la foi en Allah est la connaissance, une manifestation d'existence; c'est l’affirmation et le jugement. Même chaque question négative de la foi est la porte et le voile d’une vérité positive. Le peuple de la mécréance qui lutte contre la foi, s’il travaille avec une plus grande difficulté d'affirmer et d’accepter leur croyance négative sous forme d'acceptation du néant et d'admission du néant, alors cette mécréance peut être considérée à un égard comme une forme de la connaissance erronée ou de jugement incorrect. Mais quant au non-acceptance et au reniement et à la non admission - quelque chose plus facilement faite-c’est l’ignorance absolue et absence totale de jugement.
En bref : La conviction à la mécréance est alors en deux sortes :
La première ne regarde pas les vérités de l'Islam.C'est une admission incorrecte, une croyance sans fondement et une acceptation erronée particulière à lui-même ; c'est un jugement injuste. Ce genre d’incroyance est hors de notre discussion. Il n'a aucun souci avec nous et nous n’avons non plus n'importe quel souci avec lui.
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* K. S.= Kuddise Sırrıhu= Que son mystère soit sanctifié (c’est une prière pour le personnage indiqué)
** On peut expliquer ces trois certitudes par cet exemple: Quand on aperçoit une fumée de loin, cela veut dire qu’on sait par savoir l’existence du feu là-bas (c’est la certitude de savoir); si l’on s’approche au feu et on le voit (c’est la certitude de vision); et si on met le doigt dans le feu, dans ce cas on sait l’existence du feu absolument, parfaitement (c’est la certitude absolue).
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