TRAITÉ À L'USAGE DES MALADES | 25è ÉCLAIR | 37
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là. Ils font travailler la source de l'impuissance, de la faiblesse et de la pauvreté qui sont incluses dans la nature humaine. Pas seulement par un langage, mais plutôt chacun avec un langage, ils donnent une situation de refuge et de secours. Comme si l'homme avec ces manquements-là devenait un stylet qui provoque des milliers de stylets différents. Il écrit son destin dans la page de sa vie ou le Tableau des événements d'ici-bas, il en fait un tableau d'an¬nonces pour les Noms Divins et en passant comme une Ode Rimée, Glorieuse, il complète le devoir de sa vie. 
C'est une lettre envoyée à un médecin réveillé par l'étude de la collection Risale-i Nur qu'il aime beaucoup.
Bienvenue, ô heureux docteur qui as pu diagnostiquer ta propre maladie, mon cher et sincère ami!
Ta lettre chaleureuse qui montre le réveil de ton esprit, mérite d'être félicitée.
Sachez que parmi les êtres vivants, ce qui est le plus cher, c'est la vie et parmi les devoirs, le plus cher, c'est de servir la vie et parmi les devoirs de la vie, le plus important, c'est de fournir l'effort pour que la vie éphémère se transforme en vie éternelle. Quant à toute la valeur et l'importance de cette vie, c'est de par son aspect qu'elle constitue le noyau, le début et le commencement de la vie éternelle. Sinon, fix¬er le regard sur cette vie-là de façon à empoi¬sonner et à altérer la vie éternelle; c'est une folie comme préférer un éclair immédiat à un soleil permanent. Du point de vue de la vérité, ceux qui sont davantage malades, ce sont les médecins matérialistes et insoucieux. S'ils peuvent prendre comme potion les remèdes de
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