LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 100
(1-118)
Puis comme vous avez donné au monde, l’amour qui appartient aux noms et aux attributs du Très-Haut et vous avez divisé les œuvres de son art aux causes de l’univers, alors vous souffrez son malheur. Vu que quelques-uns de vos innombrables aimés, en vous tournant leur dos, vous abandonnent sans vous dire au revoir. Quelques-uns du restant ne vous connaissent pas du tout. Même qu’ils vous connaissent, ils ne vous aiment pas. Même qu’ils vous aiment, cela ne vous donne pas une utilité. Vous souffrez constamment des séparations innombrables et des morts sans espoir de retour.
Voilà l’essence et la vraie nature des choses que les gens de l’égarement appellent comme, le bonheur de la vie et la perfection humaine et les talents de la civilisation et le plaisir de la liberté. La dissipation et l’ivresse sont une voile qu’ils ne font pas sentir temporairement. Dis: “Mille tonnerres à leurs intelligences!„
Mais quant à la route lumineuse du Coran: Elle guérit, avec les vérités de la foi, toutes les blessures que souffrent tous les gens de l’égarement. Elle disperse toute obscurité du chemin antérieur. Elle ferme toutes les portes d’égarement et d’anéantissement. Soit :
La route lumineuse du Coran guérit la faiblesse et l’impuissance et la pauvreté et le besoin de l’homme avec la résignation et la confiance à Un Omnipotent Tout Miséricordieux (Kadîr-i Rahîm). En remettant le fardeau de sa vie et de son corps à la puissance et à la miséricorde de Lui, ainsi en ne le se chargeant pas lui-même, il trouve une station tranquille comme s’il montait sur sa propre vie et sa propre âme. Le Coran déclare qu’il n’est pas “un animal parlant”, mais plutôt un vrai homme et un invité bien admis du Très Miséricordieux. Il guérit joliment les blessures de l’homme venant du caractère éphémère du monde et de la nature éphémère des choses et de l’amour des mortels ; et il le livre de l’obscurité de l’illusion, en déclarant que le monde est un hospice de Très Miséricordieux et les êtres du monde sont les miroirs des noms divins et ses créatures sont les lettres de Saméd.
Et puis le Coran montre la mort et le terme comme le commencement du revoir et de la réunion avec les amis qui sont allés au monde intermédiaire et qui sont déjà dans le royaume de l’éternité. Il guérit ainsi les blessures de la mort que les gens égarés considèrent comme une séparation éternelle. Et il prouve que cette séparation est en fait le revoir. De plus, il dissipe la crainte la plus terrifiante de l’homme, en prouvant que la tombe est une porte qui s’ouvre au monde de la miséricorde et à la demeure du bonheur et aux vignes des paradis et au royaume lumineux de Très Miséricordieux. Ainsi le Coran montre que le voyage du royaume intermédiaire apparemment douloureux, triste et ennuyeux, est en fait, un voyage le plus agréable, familier et joyeux. Avec la tombe, il ferme la bouche du dragon et ouvre la porte sur un beau jardin. C’est-à-dire il montre que la tombe n’est pas la bouche d’un dragon, mais elle est une porte qui s’ouvre sur un jardin de la miséricorde.
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