LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 97
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DEUXIÈME QUESTION DU DEUXIÈME POINT
                (DE LA TRENTE DEUXIÈME PAROLE DU RISALÉ-I NUR)
            Quand le représentant des gens d’égarement n’arrive pas à trouver aucune chose pour se retenir et pour construire son égarement sur elle et quand il est défaite, il dit ceci: “ Puisque moi, je considère que : le bonheur du monde et le plaisir de la vie et  le progrès de la civilisation et la perfection de l’art sont, à mon avis, dans l’idée de ne pas penser au ci-après et de ne pas connaître Allah et  dans l’amour du monde et en la liberté et dans la confiance qu’en soi-même; pour cela, par l’aide de Satan, j’ai mené et je continue à mener la plupart de l’humanité sur ce chemin’’.
            La Réponse: Nous disons, au nom du Coran, que: Ô homme malheureux! Reprends tes sens. N’écoute pas le représentant des gens d’égarement. Si tu l’écoutes, ta perte sera si grande que, de son imagination, l’esprit, l’intelligence et le cœur frissonne. Devant toi, il y a deux chemins:
            L’un: Le chemin du malheur  montré par le représentant des gens d’égarement,
            L’autre: Le chemin du bonheur définit par le Coran Tout Sage.
            Jusqu’ici, tu as pu voir et comprendre de nombreuses comparaisons de ces deux chemins dans plusieurs traités du Risalé-i Nur, en particulier, dans le dix premières paroles de l’ouvrage Paroles de Risalé-i Nur. Maintenant, vois et comprends encore une parmi mille de ces comparaisons convenant à notre sujet ! Soit: Le chemin de l’association, de l’égarement, de la dissipation et du vice fait tomber l’homme au plus bas degré. Affligé par des douleurs infinies, il se charge une charge infiniment lourde sur sa bêche faible et impuissante. Car si l’homme ne connaît pas la Très Haut et s’il ne se résigne pas à Lui, il devient alors comme un animal éphémère très inquiet, triste, exposé aux malheurs infinis, extrêmement impuissant et faible, infiniment indigent et appauvri, souffrant sans interruption de la douleur de la séparation de toutes choses qu’il aime et qui est déjà attaché; en laissant finalement tous ses amis dans une douleur de séparation, il va tout seul à l’obscurité de la tombe.
            Puis, il lutte vainement pendant toute sa vie contre les douleurs et les vœus infinis avec une volonté limitée et  un petit pouvoir et une vie très courte, une très petite durée de vie et par une idée éteinte. Et il travaille  vainement sans résultat pour atteindre aux désirs et aux buts innombrables.
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