LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 44
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Et puisqu’on a prouvé avec des arguments décisifs qu’il n’est pas possible de créer l’un, l’autre avec le mouvement giratoire et l’enchaînement qui sont impossibles et faux; sans doute il faut l’existence d’un tel Être Nécessaire que: son équivalent et son pareil seront impossibles et tous les autres que de cet Être Nécessaires seront des  possibles et tout ce qui est hors de Lui sera sa créature. Oui, la vérité de Houdoûs a envahi l’univers, l’oeil voit le plus grand nombre, le reste est vu par l’intellect. Car, chaque année devant nos yeux pendant la saison d’automne, un tel monde meurt avec ses cent mille d’espèces de plantes et de petits animaux, ayant chacun des quantités innombrables et étant comme un petit univers, meurent ensemble avec ce royanne. Mais c’est une mort avec un tel ordre de façon à céder leurs places au printemps laissant ses noyaux, ses grains et ses tous petits œufs qui sont les moyens de leur résurrection et de leur renaissance, les miracles de la miséricorde et de la sagesse, les merveilles de la puissance et de la connaissance; et ils donnent le livre de leurs actions, les programmes de leurs devoirs qui ont déjà exécutés, aux mains des noyaux, des grains et des tous petits œufs; et ils meurent après avoir les confié à la sagesse du Conservateur possesseur de majesté, sous sa protection. A la saison de printemps, comme les cent mille exemples du spécimen et des preuves de la résurrection suprême ; les arbres, les racines et de certains petits animaux déjà morts, raniment et resurgissent de même comme ils étaient. Quant aux autres espèces, elles sont créées et ranimées ressemblant de même à leurs précédentes. Et les êtres du printemps précédent, en publiant les pages de leurs actions et leurs fonctions qui ont exécutées, ils démontrent un exemple du verset suivant,

(Coran:81/10)         ََاِذَا الصُّحُفُ نُشِرَتْ   

            Et puis, par rapport au tout, chaque automne et chaque printemps, un grand monde meurt et à la suite un autrre renaisse fraîchement. Cette mort et cette houdoûs (nouvelle création) procèdent toutes les deux d’une façon si ordonnée qu’elles se produisent très régulièrement par l’équilibre des décès et des houdoûs de tant d’éspèces, comme si le monde leur constituait une telle hôtellerie que les mondes des êtres vivants étaient ses hôtes et que les mondes passagers, les royaumes migratoires venaient à lui et après avoir accompli leurs devoirs, et ils s’en allaient. Ainsi, apparaissant comme le soleil avec évidence aux intellects, l’existence nécessaire, la puissance infinie et la sagesse illimitée d’un Être possesseur de majesté qui réalise et crée les royaumes vitaux, les mondes chargés par la connaissance parfaite, la sagesse, la balance, l’équilibre, l’ordre et la régularité et qui les utilise avec plein pouvoir et emploie miséricordieusement pour les objectifs dominicaux, pour les buts divins et pour les services miséricordieux. En laissant les questions de la houdoûs au Risalé-i Nur et aux livres des savants de la théologie, nous terminons l’étude de ce thème.

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