LE SIGNE SUPRÊME | 7é RAYON | 45
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            Quant au côté de la Possibilité (Imkan), celle-ci aussi envahit et embrasse  tout l’univers. Car, nous voyons que: chaque chose, soit universelle ou particulière, soit petite ou grande et chaque être, du trône à la terre, des atomes jusqu’aux planètes, sont tous envoyés au monde avec une entité particulière, une forme spécifique, une personnalité distincte, des attributs exclusifs à eux, des qualités sages et des appareils conformes au but. Alors que, parmi des possibilités infinies, accorder à cette entité et à cette essence, cette particularité, vêtir cette forme spécifique brodée, distinctive et appropriée parmi, les possibilités et les probabilités des nombres des formes, assigner avec privilège cette personnalité à cet être qui est agité parmi les possibilités aussi nombreuses que les autres membres de son espèce ; doter cet objet créé avec des attributs avantageux spéciaux et convenables, parmi les possibilités et les probabilités aussi nombreuses que les variétés et les degrés des attributs ; apposer et équiper cette créature perplexe, confondue et sans but avec les qualités sages et les organes grâcieux parmi les possibilités et les probabilités innombrables qu’elle peut se trouver dans des modalités et des chemins infinis; tous ceux-ci sont des indications, des preuves, des affirmations de l’existence nécessaire, de la puissance infinie et de la sagesse sans fin d’un Existant Nécessaire (Vadjib-ul Vudjud) qui affecte, choisit, détermine, innove par le nombre des possibles universels et particuliers et par le nombre des possibilités de l’essence et d’identité, de la figure et de la forme, de l’attribut et de la situation de chaque possible. Et en plus, tous ceux-ci indiquent, prouvent et affirment qu’aucune chose et aucun événement ne peut se cacher de Lui et que rien n’est difficile pour Lui et que la plus grande chose est très facile pour Lui comme le plus petit et qu’Il peut créer un printemps autant un arbre et un arbre aussi facilement qu’un noyau. Tous ceux-ci se rapportent à la vérité de la possibilité et forment une aile de ce grand témoignage de l’univers. Comme le témoignage de l’univers avec ses deux ailes et deux vérités est entièrement prouvé et expliqué dans les traités du Risalé-i Nur et en particulier dans le Vingt-deuxième et le Trente-deuxième Paroles, le Vingtième et le Trente-troisième Lettres; en référant à eux, on a dû coupé court ce très long récit.

La Deuxième Vérité  prouvant la deuxième aile du grand et universel témoignage qui vient du corps de tout univers: on se voit chez créatures une vérité de l’entraide à l’extérieur de toute leur pouvoir; ces créatures essaient de maintenir leur existence et d’accomplir leurs  fonctions, au milieu des modifications et des changements constamment remuant. Par exemple: les éléments courent au secours des êtres vivants, en particulier les nouages aident les végétaux et les végétaux eux aussi soutiennent les animaux et quant aux animaux, ils secourent les hommes et ainsi que les laits des mamelles étant comme le fleuve du paradis (Kevser) secourent l’alimentation des petits; et donner aux mains des êtres vivants, des lieux inattendus leurs besoins et leurs moyens de subsistance qui dépassent leurs pouvoirs même la course des atomes des nourritures au réapprovisionnement des cellules du corps, ces innombrables exemples de la vérité d’entraide réalisés par la subjugation dominicale et par l’emploi divin, nous montrent la seigneurité universelle et miséricordieuse d’un Seigneur des Mondes qui administre tout univers comme un palais.

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