TRAITÉ DE LA FRATERNITÉ | 22è LETTRE | 18
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 بِاسْمِهِ سُبْحَانَهُ

Mes Chers, Très Fidèles et Sincères Frères,

Pour nous, il est devenu nécessaire d’utiliser les règles de la Sincérité de l’Eclair et le mystère de la vraie sincérité, dans la mesure du possible, de toute notre force, entre nous, les uns envers les autres,. J’ai appris avec certitude que depuis trois  mois, trois personnes ont été nommées pour semer la zizanie parmi les purs frères et dresser les uns contre les autres en raison de leurs sensibilités ou de leurs idées différentes.

Aussi, pour secouer les solides Nurcus (disciples de Risale-i Nur) en les lassant et illusionner les impatients et les détourner du service de Risale-i Nur , sans raison ils prolongent notre procès. Gare ! Gare !.. La fraternité dévouée et l’amour cordial qui existaient jusqu’à maintenant parmi vous ne doivent pas être  secoués. Même s’il y en a le moindre , il portera pour nous un grand préjudice. Nous, en cas de besoin, bien que le service du Coran et de la foi nécessite de sacrifier notre âme ; en raison de l’ennui et de la méticulosité venant d’autres choses, au lieu que les vrais dévoués se fâchent les uns contre les autres, au contraire on doit prendre la faute de l’autre sur soi avec parfait effacement et modestie et renoncement et tenter d’augmenter son amour, sa cordialité. Sinon, un atome devenant une montagne peut causer un préjudice qui ne pourra être réparé. En l’adressant à votre lucidité, je coupe court.

Said Nursî
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