TRAITÉ À L'USAGE DES MALADES | 25è ÉCLAIR | 10
(1-38)
moyen d'entrer dans son vrai pays, sa demeure de bonheur éternelle ainsi qu' une invitation à passer de la geôle du monde, au jardin des paradis; donc, une attente pour recevoir son salaire contre son service par la vertu du Créateur Miséricordieux. Puisque l'essence de la mort du point de vue de la vérité est ainsi, il ne faut pas la regarder avec horreur, au con¬traire on doit la considérer comme le début de la grâce et du bonheur. Certes, certains Saints ont peur de la mort mais il ne s'agit pas d'hor¬reur de la mort, au contraire c' est pour gagner plus de bonnes actions dans la poursuite du devoir de la vie. Oui, la mort pour les gens de foi est la porte de la grâce. Pour les gens de l'égarement, elle est le puits d'éternelle obscurité
DIXIEME REMEDE: O malade qui t'in¬quiètes inutilement! Toi, tu t'inquiètes de la gravité de la maladie. Ton inquiétude aggrave ta maladie. Si tu veux que ta maladie soit allégée, essaie de ne pas t'inquiéter. C'est-à-dire pense aux avantages, à la récompense contenue dans la maladie, à son état éphémère, enlève l'inquiétude, coupe la racine de la maladie. Oui, l'inquiétude double la maladie, elle donne au cœur une maladie spirituelle sous l'effet de la maladie matérielle; celle-ci s'appuie sur elle et continue. Avec résignation et contentement; en pensant avec sagesse à la maladie, si l'inquié¬tude s'en va, une bonne base de cette maladie matérielle sera coupée, elle sera allégée, elle s'en ira en partie. Particulièrement, en raison des illusions, une once de maladie matérielle grandit parfois autant que dix. En coupant l'in¬quiétude, les neuf dixièmes de cette maladie-là partent. Comme l'inquiétude augmente la ma¬ladie, elle est en quelque sorte une accusation contre la sagesse divine, une critique contre sa grâce et une plainte contre le Créateur Miséri¬cordieux, le malade reçoit un soufflet contraire¬ment à son but, il augmente sa maladie. Oui, comme le remerciement augmente le bienfait; de même la plainte augmente la maladie et le malheur. Aussi, l'inquiétude, elle-même est une maladie. Son remède, c' est de savoir la sagesse de la maladie. Puisque tu as connu cette sagesse, son utilité, applique le remède à l'in¬quiétude pour te sauver. Dis "oh!" au lieu de "ah!", au lieu de "quel malheur!", dis "Louange à Dieu en toutes circonstances!".
DIXIEME REMEDE: O malade qui t'in¬quiètes inutilement! Toi, tu t'inquiètes de la gravité de la maladie. Ton inquiétude aggrave ta maladie. Si tu veux que ta maladie soit allégée, essaie de ne pas t'inquiéter. C'est-à-dire pense aux avantages, à la récompense contenue dans la maladie, à son état éphémère, enlève l'inquiétude, coupe la racine de la maladie. Oui, l'inquiétude double la maladie, elle donne au cœur une maladie spirituelle sous l'effet de la maladie matérielle; celle-ci s'appuie sur elle et continue. Avec résignation et contentement; en pensant avec sagesse à la maladie, si l'inquié¬tude s'en va, une bonne base de cette maladie matérielle sera coupée, elle sera allégée, elle s'en ira en partie. Particulièrement, en raison des illusions, une once de maladie matérielle grandit parfois autant que dix. En coupant l'in¬quiétude, les neuf dixièmes de cette maladie-là partent. Comme l'inquiétude augmente la ma¬ladie, elle est en quelque sorte une accusation contre la sagesse divine, une critique contre sa grâce et une plainte contre le Créateur Miséri¬cordieux, le malade reçoit un soufflet contraire¬ment à son but, il augmente sa maladie. Oui, comme le remerciement augmente le bienfait; de même la plainte augmente la maladie et le malheur. Aussi, l'inquiétude, elle-même est une maladie. Son remède, c' est de savoir la sagesse de la maladie. Puisque tu as connu cette sagesse, son utilité, applique le remède à l'in¬quiétude pour te sauver. Dis "oh!" au lieu de "ah!", au lieu de "quel malheur!", dis "Louange à Dieu en toutes circonstances!".
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