LE TRAITÉ DE FRUIT | Le Traité de Fruit | 20
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Un Extrait du Huitième Sujet

 Dans le Septième Sujet, nous voulions demander la résurrection des morts à des nombreux niveaux des êtres. Mais nous avons raccourci,  parce que les réponses données par les noms de notre Créateur ont assuré une telle certitude puissante qu’il ne reste plus besoin d'autres questions. Maintenant, au cours de ce sujet sera récapitulé un centième des avantages et des conséquences de la croyance à l’au-delà, pour le bonheur en ce monde et pour le bonheur à l’autre monde. Le Coran de l'Exposition Miraculeuse ne laisse aucun besoin d'explication au sujet du bonheur à l’au-delà. Ainsi à ce sujet nous nous référons au Coran et en laissant, au Risalé-i Nur, les explications relatives au bonheur en ce monde; nous décrirons ici en forme récapitulative, seulement trois ou quatre sur centaines de résultats de la croyance à l’au-delà qui regardent la vie individuelle et la vie sociale de l’homme.

Le premier :Contrairement à d'autres êtres vivants, l’homme, comme il s’intéresse à sa maison, il s’intéresse aussi au monde et comme il a des relations avec ses parents, il a aussi des relations naturelles et sérieuses avec l'humanité. Comme il désire sa permanence provisoire en ce monde, il désire aussi passionnément son immortalité dans le royaume de l'éternité. Comme il a la tâche de satisfaire le besoin de son estomac, il est naturellement obligé de procurer les tables et les nourritures aussi larges que le monde s’allongeant vers l’éternité, pour des estomacs de son esprit et de son cœur et de son âme et de son  humanité, se dèmene-t-il. Il a des espoirs et des désires de la sorte que rien ne puisse les satisfaire, sauf le bonheur éternel. Et même comme il est mentionné dans la Dixième Parole (de Risalé-i Nur); quand j’étais petit, j'ai demandé à mon imagination: « Est-ce que tu veux vivre pendant un million d'années et régner le monde mais puis cesser d'exister? Ou tu veux vivre éternellement mais ayant une existence ordinaire et difficile? » J'ai vu que mon imagination a voulu la dernière, se sentant la douleur de la première, soupire-t-elle «ah!», et elle a dit: « je veux l’immoralité, même  qu’il soit  dans l'enfer! »

Ainsi, puisque les plaisirs de ce monde ne satisfont pas la faculté d’imagination qui est un serviteur de nature humaine, l’essence complète de l’homme est naturellement attachée à l'éternité.

En dépit de son attachement à ces espoirs et à ces désirs illimités, l’homme a,comme capital,seulement une petite faculté de volonté et une pauvreté absolue ; pour l'homme la croyance à l’au-delà, est un trésor d'une telle force et de suffisance, un moyen du plaisir et du bonheur, une source d'aide, du refuge, un moyen de consolation des douleurs sans fin de ce monde ; c’est un tel fruit et avantage que si la vie de ce monde devait être sacrifiée pour gagner le monde future, ce serait  toujours très bon marché.

Son deuxième fruit et un avantage qui regarde la vie personnelle de l’homme :

Ceci est une conséquence de grande importance qui est expliquée dans le Troisième Sujet, et au sujet de laquelle il y a une apostille dans Le Guide pour la Jeunesse (de Risalé-i Nur).

La plus grande et la plus constante inquiétude de l’homme consiste à entrer dans le cimetière, l'endroit de l'exécution, comme ses amis et ses proches y sont entrés. L'homme misérable qui est prêt à sacrifier son âme même pour un ami simple, pense aux milliers, même aux millions, aux milliards d'amis,en supposant qui se sont séparés de lui pour toute l'éternité, il souffre des supplices plus mauvais que l'enfer, juste à ce point la croyance à l’au-delà vient, elle fait ouvrir ses yeux, et soulève le voile. Elle lui dit: « Regarde! ». Il a regardé avec la croyance... et -voyant que ses amis ont été sauvés de la mort et de la décomposition éternelle et l'attendent heureusement dans un monde lumineux- il a reçu un plaisir moral qui annonce les plaisirs du paradis. Comme cette conséquence a été expliquée avec les preuves dans le Risalé-i Nur, nous y coupons courtement.

Son troisième avantage relatif à la vie personnelle:

La supériorité de l’homme sur d'autres êtres vivants et son rang élevé consistent dans ses qualités élevées, ses capacités complètes, ses  servitudes universels, et ses sphères étendues d'existence. Cependant, les vertus qu'il acquiert comme l'ardeur, l’amour, la confrérie, et l'humanité sont passagers dans la mesure du présent, qui est serré entre les temps du passé et du futur  qui sont inexistants, morts et noirs:

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